Les secrets d’un émonctoire : le foie
Les émonctoires sont, par définition, les organes corporels qui ont pour vocation de nettoyer le corps des impuretés, des toxines, des énergies qui ne sont plus ou pas en adéquation avec nous-même. Leur activité étant physiologiquement régulée par les systèmes nerveux autonomes que sont les systèmes sympathiques et parasympathiques.
Depuis 1828, date à laquelle Friedrich Wöhler réussit à synthétiser l’urée en mode « hors-corps », nous avons perdu une partie du mystère de ce qu’est et produit la « force vitale ». Ceci a éloigné la médecine d’un essentiel : le monde vibratoire, carburateur primaire du monde des vivants.
Or, la plupart des fonctionnements schématiques corporels ont une double « lecture ». En effet, dans le corps, la science sait déjà à peu près tout, en revanche sur certains rôles « non visibles » scientifiquement aujourd’hui, il y a des lacunes.
Les émonctoires sont représentés par les organes suivants :
– la bouche dans son intégralité est un émonctoire muqueux, la langue y tenant un rôle important.
– Les reins
– Le foie
– Les poumons
– Les sinus
– La trachée
– Le larynx et le pharynx
– Les intestins grêles et le côlon.
– La peau,
– Les glandes sudoripares.
Plus d’informations sur le rôle des émonctoires :
Leurs rôles sont caractérisés par la libération d’endocrines (les transaminases par exemple) et de sympathicomimétiques, qui, au contact des libérations fonctionnelles des émonctoires (comme les molécules qui composent par exemple les effluves, l’urée et autres molécules endogènes) les affluent dans le système parasympathique mimétique caractérisant à leur tour les glandes endocrines de « cervelles de moineau », c’est-à-dire de petit cerveau ou de petit chef d’orchestre.
En effet, il y a des rôles rétrogrades encore méconnus de la science actuelle. Et, ces rôles ne sont pas encore « visibles » puisqu’ils ajustent certaines données de la physiologie, du fonctionnement corporel. En effet, ceci se produit sur le plan vibratoire et non de façon purement corporelle comme on pourrait le croire.
Lorsque le foie produit ses endogènes, il transmet, transfert sur le plan vibratoire des données créant un effet parasympathicomimétique. De plus, lorsqu’il rétrocède au corps des molécules endogènes, le corps produit des substances aqueuses (ex : acétylcholine) libérant des molécules chimiques intrinsèques. Ces dernières sont fonctionnellement en adéquation avec une attente vibratoire de relaxation. Elles entraînent la production d’ocytocine par l’hypothalamus qui sera sécrétée par l’hypophyse.
Le foie et la recherche de la paix intérieure :
Lorsque le foie rétrocède ces molécules endogènes, il survient une alchimie vibratoire visant à restituer un état de paix intérieure. Or , cela favorise la possibilité de faire le tri organique des molécules, celles qui ne sont pas utiles à notre fonctionnement optimal. Ainsi, le foie génère sur le plan physiologique une homéostasie, et sur le plan vibratoire, une atteinte de la relaxation. L’auto-contrôle vibratoire du foie est une synergie vibratoire avec l’ensemble vibratoire du corps de l’être.
Quant au rôle sympathicomimétique du foie, il est quasi inexistant physiologiquement parlant. En revanche, sur le plan vibratoire, il permet de réajuster une homéostasie en attente d’action afin de libérer du stress, de la colère ou d’autres émotions, d’où la sensation d’avoir besoin de bouger sans en connaître la raison, le motif.
L’alchimie du foie et des émotions : pourquoi le libérer ?
« Stress et émotions contenues = cul tendu »
C’est avec humour que je tente de vous montrer qu’un foie engorgé de colère ne demande qu’à se libérer afin de pouvoir faire son job de tri dans la plus idéale synergie avec un état de relaxation.
La libération de la colère est optimisée par le mouvement, le sport et aussi la relaxation. Cela peut paraître contradictoire mais c’est plutôt complémentaire.
En libérant le foie de ses émotions contenues, cela lui permet de mettre en place les mécaniques physiologiques pour lesquelles il est conçu à savoir :
– aider à la digestion (grâce à la production d’enzymes digestives qui seront condensées puis déversées dans l’intestin par la vésicule biliaire),
– synthèse de l’urée (élimination des déchets azotées : ammoniaque transformé en urée lors du cycle de l’urée),
– aide immunologique par phagocytose,
– fabrication du fibrinogène (intervenant dans la coagulation du sang),
– stockage du glycogène (source de glucose rapide en cas de besoin du corps d’une source d’énergie principalement à visée musculaire),
– métabolisme et stockage de vitamines…
En ce qui concerne le rein (et les autres émonctoires), lui aussi multi-potentialiste des activités neuro-transmetteurielles, je n’en dirais pas plus dans ce « chapitre », bientôt un nouvel article verra le jour à ce sujet.
Murielle Ginestet
Merci à toi qui me lit.
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